Frédéric Hébert - Coaching individuel ou d'équipe
Hypnose & Neuro-Coaching
Caen/Mondeville
Le coaching à l'ère des neurosciences
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Neuro-coaching Caen - Mondeville
LE NEURO-COACHING INTÉGRATIF EN INDIVIDUEL

Le neuro-coaching est une approche de coaching qui intègre des concepts et des techniques issus des neurosciences pour aider les individus à atteindre leurs objectifs personnels et professionnels.
L’approche repose sur l’incroyable plasticité cérébrale, permettant de remodeler nos conduites et de s’adapter en fonction des expériences et des apprentissages. En utilisant des connaissances sur la plasticité cérébrale et sur la façon dont le cerveau traite l’information, le neuro-coaching vous prépare intensivement à développer de nouvelles compétences, à changer vos comportements et à atteindre leurs objectifs de manière plus efficace.
Les techniques de neuro-coaching sont conçues pour optimiser la performance cognitive, émotionnelle et comportementale de chacun, en s’appuyant sur des sur des bases psychologiques et neuroscientifiques solides.
Ainsi, certaines régions du cerveau sont souvent associées à des processus cognitifs et émotionnels qui pourraient être sollicités pendant une séance de neuro-coaching :
Le cortex préfrontal: Impliqué dans la pensée rationnelle, la prise de décision, la planification, et la régulation émotionnelle. Pendant une séance de coaching, cette zone peut être activée lors de la réflexion sur les objectifs, la résolution de problèmes, et la prise de décisions concernant les actions à entreprendre.
Le système limbique: Comprend des structures telles que l’amygdale et l’hippocampe. Il est lié aux émotions, à la motivation et à la mémoire émotionnelle. Pendant une séance de coaching, cette zone peut être activée lorsque des émotions intenses ou des souvenirs pertinents sont évoqués.
Le cortex cingulaire antérieur : Associé au contrôle des émotions, à l’attention, à la régulation de conflits, et à la prise de conscience de soi. Cette région peut être sollicitée lors de l’exploration des croyances limitantes ou des schémas de pensée.
le cortex pariétal: Impliqué dans la perception sensorielle, la conscience spatiale, et l’attention. Cette région peut être activée lorsque le coaché travaille sur la visualisation, la créativité ou la résolution de problèmes concrets.
Votre neuro-coach prête attention à votre attention
Les neurosciences offrent des perspectives fascinantes sur la manière dont l’attention est orientée dans le cerveau. Ce processus complexe impliquent plusieurs régions cérébrales et réseaux neuronaux.
- Les réseaux cérébraux de l’attention : Réseau dorsal et ventral: Deux systèmes principaux d’attention ont été identifiés. Le réseau dorsal est associé à l’attention spatiale et à la localisation des stimuli, tandis que le réseau ventral est davantage impliqué dans l’attention focalisée sur des caractéristiques spécifiques des stimuli.
- Régions clés impliquées dans l’orientation de l’attention : Cortex pariétal: Joue un rôle central dans l’attention spatiale et l’orientation de l’attention vers des emplacements spécifiques dans l’environnement. Cortex frontal: Impliqué dans la régulation de l’attention, y compris la flexibilité cognitive et le contrôle exécutif. Thalamus: Fonctionne comme un hub de relais pour les signaux sensoriels et joue un rôle dans la distribution des ressources attentionnelles. Noyau pulvinar: Une structure sous-corticale impliquée dans l’orientation de l’attention visuelle. Cortex cingulaire antérieur: Associé à la sélection et à la régulation de l’attention.
- Mécanismes neuronaux de l’orientation de l’attention : Système de saillance: Le cerveau réagit à des stimuli saillants ou pertinents en les priorisant pour l’attention. Contrôle de l’inhibition et de l’activation: Les mécanismes d’inhibition sont essentiels pour supprimer les distractions et se concentrer sur des stimuli spécifiques. Modulation des voies sensorielles: L’attention influence la façon dont les informations sensorielles sont traitées et relayées dans le cerveau.
- Plasticité cérébrale liée à l’attention : Des études ont montré que la pratique régulière de techniques d’attention, telles que la méditation, ou à l’inverse l’introspection dans une perspective phénoménologique, peut entraîner des changements dans la structure et la fonction du cerveau, renforçant les réseaux neuronaux associés à l’attention.
Ces données fournissent un aperçu complexe de la façon dont l’attention est régulée et orientée dans le cerveau, mettant en lumière les mécanismes neuronaux sous-jacents à ce processus essentiel à notre capacité à interagir avec le monde qui nous entoure.
Ce travail accompagné vous autorisera à :
- Mettre en place des stratégies : modifier stratégiquement les pensées et les comportements négatifs.
- Développer la présence à soi et la gestion du stress.
- Développer le « silence cognitif » : Mieux appréhender et réguler leurs réponses physiologiques, telles que la fréquence cardiaque, la tension artérielle, et les sensations somesthésiques, etc.
- Visualiser : Techniques sensorielles pour maximiser un traitement sensoriel libre d’interprétation et une conscience immédiate des retours du système nerveux autonome.
- Pratiquer des exercices de régulation du système nerveux autonome : Techniques visant à réguler les réponses du système nerveux autonome.
- Activer la neuroplasticité : Utilisation d’exercices et d’activités visant à favoriser la plasticité cérébrale pour améliorer le fonctionnement mental et émotionnel.
DES APPROCHES THÉRAPEUTIQUES AU NEURO-COACHING : L'OBJECTIF
L’élaboration d’objectifs, chère à toutes les approches solutionnistes, se base sur sept critères déterminant la bonne qualité de ce dernier.
Un objectif dans cette pratique doit cocher les cases suivantes :
- Formulation affirmative
- Dépendance exclusive de soi
- Précision du contexte
- Mesurabilité et vérifiabilité (langage VAKOG : Visuel, Auditif, Kinesthésique, Olfactif, Gustatif)
- Évaluation des limites pour atteindre l’objectif
- Identification des ressources nécessaires
- Vérification de l’écologie interne et externe
4 bases bases scientifiques confirment l’intérêt de la pratique du point de vue des phénomènes neurologiques sous-jacents :
- Activation du mode par défaut du réseau neuronal : Actif lors de l’introspection, méditation ou projection mentale, ce réseau s’active en formulant un objectif personnel, favorisant la concentration interne et la compréhension empathique.
- Augmentation de la motivation intrinsèque : Les critères positifs et la dépendance personnelle des objectifs correspondent aux principes de la motivation intrinsèque, associée au bien-être et à l’autonomie dans l’action.
- Le Colliculus supérieur s’anime : L’utilisation des modalités sensorielles dans la formulation des objectifs (VAKOG) active cette région du cerveau, renforçant l’attention et l’intention de les atteindre.
- Le modèle de changement de Prochaska : Ce modèle souligne l’importance de clarifier et de préciser les objectifs pour favoriser un changement réussi, étayant ainsi les critères du cadre objectif.
En résumé, ces fondements neuroscientifiques suggèrent la pertinence d’une bonne pratique de la formulation d’objectifs répondant aux critères du cadre exploratoire en usage en coaching, au sein d’un accompagnement. Elle active ainsi des régions spécifiques du cerveau, favorisant la concentration, l’intention, et facilitant ainsi l’atteinte des objectifs. Cela fournit un appui scientifique aux pratiques de coaching PNL et ouvre la voie à une série d’études sur les fondements scientifiques de la PNL.
Les approches comme l’hypnose intégrative et la reprogrammation neuronale apportent, quant à elles, des outils pour contourner extraordinairement rapidement les obstacles et freins au changement, et pour conjuguer dans une synergie optimale les ressources internes en les refocalisant sur la trajectoire de la réussite. Les dimensions conflictuelles internes peuvent aisément s’harmoniser.
DES DONNÉES SCIENTIFIQUES
Après un intérêt modéré, voire un regard académique suspicieux dans les années 80, les incroyables progrès de l’imagerie cérébrale depuis 1998, et plus récemment l’imagerie fonctionnelle, il n’est plus possible de dire que les thérapies n’ont pas de reconnaissance ni de validation scientifique.
Certes, les découvertes comblent très lentement et partiellement les interrogations, relient avec prudence les phénomènes mesurés aux pratiques déployées, avec la même pierre d’achoppement qui reste l’absence de standardisation possible, ni même souhaitable pour toute approche psychothérapeutique éthique et bienveillante.
Bibliothèques scientifiques / Outils PNL EMDR HYPNOSE TCC Pubmed (médical et scientifiques)
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147 537 14773 40119 Psychinfo (sciences sociales) | 33 49 414 2494 | Wiley Online Library (articles, protocoles et bibliothèques) |
504 |
1263 |
34106 |
92265 |
Bibliothèques scientifiques / Outils PNL EMDR HYPNOSE TCC Pubmed (médical et scientifiques)
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147 537 14773 40119 Psychinfo (sciences sociales) | 33 49 414 2494 | Wiley Online Library (articles, protocoles et bibliothèques) |
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- un faux départ avec une approche académique qui s’est concentrée sur les mouvements oculaires dont l’impact reste extraordinairement efficient en cabinet mais dont le fonctionnement échappe à l’investigation armée des équipes de chercheurs. La réduction historique initiale de la formidable valise PNL aux simples mouvements oculaires par le scientifique devenu sceptique, ce en dépit du fait que le PNListe ne cesse d’étoffer la discipline de multiples outils au gré des découvertes qui fleurissent, perdure encore actuellement
- La mauvaise réputation du départ, s’étaye sur le fait des BANDLER et GRINDER, respectivement psychologue et docteur en linguistique, ont développé l’approche au sein du milieu universitaire mais l’on rapidement démocratisé en dehors du sérail, marquant à partir de là l’hostilité à reconnaitre la discipline et à la certifier.
- Son succès, hors du domaine universitaire, notamment sur le plan commercial et la marchandisation de la pratique a achevé de la marquer du sceau de l’indignité.
LE NEURO-COACHING, C'EST QUOI AU FINAL ?
- Notre musculature volontaire
- Notre imagination
- Notre cognition
- Notre attention

Quant à notre attention, elle ne pourra s’orienter à un même instant que dans nos perceptions ou bien dans nos pensées.
Pour être plus précis, dans la dimension marquée par notre sensorialité, notre attention fluctue entre
- Notre intéroception, notre proprioception
- Notre extéroception (nos 5 sens)
- Notre imagination (paysage intérieur en langage vidéo)
- Nos cognitions (raisonnements, éductions de règles et de corrélations)
Ce qui marquera suffisamment notre attention pourra conserver une trace mémorielle.
Votre neuro-coach sait que vous ne pouvez fonctionner avec de la volonté sur le long terme. Le premier impératif pour le bon fonctionnement de votre système est le respect d’une règle fondamentale à la survie : l’économie d’énergie. Elle se fait par la sécurisation, par allègement des contraintes et des signaux d’alertes automatiques non-adaptatifs, et par la transformation d’états internes désagréables qui monopolisent des ressources attentionnelles. Dit autrement, on ne construit pas sur des sables mouvants.
En second lieu, des stratégies de réussites co-construites avec vous permettront de faire travailler tout votre système au service de votre objectif, en utilisant les leviers que vous possédez, accessibles et contrôlables afin d’engrammer les bonnes sensations, émotions et cognitions, tout en gérant votre souffle jusqu’à l’atteinte de votre objectif de court ou moyen terme (Ce qui est trop éloigné dans le temps n’a que peu de prise sur notre engagement).
OUTILLER SON CONSULTANT
PSYCHOÉDUCATION NEURO-FONCTIONNELLE
Il s’agit de prendre de la hauteur avec une « tour de contrôle » métacognitive, cultivant une attention focalisée et non évaluative de nos expériences mentales « impactantes », et autorisant ultérieurement, après une décision, leur régulation émotionnelle pour le coup redevenant adaptative et ainsi à une gestion global de nos niveaux d’anxiété indépendamment de l’environnement.
Ce métaregard, pour une appréhension des choses à l’échelle macro-génétique, met en exergue les fonctionnements récurrents au delà des contextes et des conduites. Cette première mise en perspective élimine une foultitude de questions et d’hypothèses inutiles sur ce qui tiendrait de notre personnalité d’une part, et ce qui relèverait du contexte d’autre part, pour s’apercevoir que la seule constante n’est ni logique, ni situationnelle mais bien réactive.
Ce signal réactif n’est ni un trait de personnalité, ni un caractère ou une structure de personnalité, ni une incapacité définitive à gérer telle situation, mais bien davantage un reflexe archaïque, un schème émotionnel qui demande à être ajusté.
CONSCIENTISATION ET DÉPROGRAMMATION
Une restructuration cognitive après identification des croyances limitantes : Le neuro-coaching s’inspire des principes de la thérapie cognitivo-comportementale pour aider le client à identifier et à reconceptualiser les croyances négatives et les schémas de pensée automatiques qui entravent le progrès vers ses objectifs, dans le but de favoriser la restructuration cognitive et la modification des croyances irrationnelles.
Cependant, contrairement à ce qui est généralement de l’ordre de la décision consciente, partant d’un constat du caractère limitatif ou contraignant de tel ou tel contenu de pensée, et de facto d’un choix conscient parfois délicat pour la personne accompagnée, sujette à de multiples influences et résistances contextuelles ou historiques, voire identitaire dans ses dimension culturelles et éducatives, le neuro-coaching passe « par dessous le capot ». Le processus de changement ne participe plus d’une prise de conscience sur une configuration de représentations « activées » de soi-même et du monde, par les contexte et le travail en séance. Il s’agit davantage d’ajuster tous nos systèmes d’alarme ou d’alerte à l’aune de qui nous sommes et de ce dont nous sommes capables aujourd’hui, et non de réflexes qui vont de la circonspection, à la vigilance, l’inquiétude voire l’anxiété qui ne trouvent pas nécessairement de raison d’être vécu ainsi.
Notre cerveau sait faire cela simplement et automatique pour peu qu’on le conduise fermement et jusqu’au bout du processus. Seul, le travail n’est ni attractif, ni finalisé dans 90% des cas, donnant la croyance que l’état limitant ou négatif est pérenne et ne pourra pas évoluer ou alors qu’il faudra du temps et traverser beaucoup d’expériences challengeantes.
Il n’en est rien, mais parfois une ou deux séances préalables sont nécessaire pour s’outiller pour l’expérience, d’où la psychoéducation sur la façon dont notre neurologie gère nos expériences humaines et la présentation du processus de régulation. Dans un travail thérapeutique, ce processus peut réclamer quelques semaines. Le neuro-coaching se propose d’offrir un cadre élargi, pour un travail intensif (qui sera à la fois libérateur, confusant et épuisant pour le reste de la journée) pour lequel vous réserverez 4 heures pour une atteinte rapide de vos objectifs.