hypnotherapeute caen

Comprendre l'hypnose

Frédéric Hébert - Hypnothérapeute
HYPNOSE ET NEURO-COACHING
Cabinet de psychologue - Caen | Mondeville

De l'hypnose ÉTAT à l' HYPNOTHÉRAPIE
Méthode ou Discipline ?

Axone Thérapies - Les thérapies neuro-intégratives. Caen - Mondeville

Hypnothérapeute Caen - Mondeville

  • “Je vais perdre le contrôle de mes actes lors d’une transe”
  • “Je vais oublier ce qui s’est passé sous hypnose”
  • “Je peux rester coincé(e) dans un état hypnotique et ne jamais me réveiller”

Une définition descriptive de l'hypnose

Nos amis du corps médical et scientifique en donnent une définition récente plutôt descriptive, pas toujours unanime ou consensuelle, mais en accord avec les associations américaines de psychologues. Cette définition correspond à ce que d’aucun, formé à l’hypnose thérapeutique observe avec le filtre de ses interprétations.  Si elle est plutôt conforme à ce qui se passe dans un cabinet , elle correspond moins avec d’autres formes d’hypnose hors du champ strictement thérapeutique :

Une interaction coopérative entre un sujet et le thérapeute, après l’induction hypnotique (ou mise en transe), produisant un état de conscience modifié caractérisé par :
    • une détente mentale et relaxation augmentée (vrai pour l’hypnose thérapeutique mais moins pour une hypnose de performance chez le sportif),
    • un état d’absorption dans l’expérience hypnotique (comme lorsqu’on est dans la lune),
    • une perception/sentiment altérée du temps, de l’espace et de l’agentivité,  (expérience d’involontarité : impression de réponses automatiques sans effort ni délibération);
    • une évaluation altérée de la subjectivité (sens de soi) et de l’environnement sensoriel.
    • une augmentation de la suggestibilité.
    • une diminution du jugement et de la censure.

Votre hypnothérapeute précise :

Du point de vue physiologique, il n’existe que 3 états de conscience :

    • l’éveil actif,
    • le sommeil lent,
    • le sommeil paradoxal,
    • et nous pouvons ajouter un 4ème moins ordinaire : le coma.

L’hypnose est donc un état de veille avec quelques particularités non spécifiques que l’on retrouve dans d’autres états de veille (distraction, conduite automatique, absorption… ). Elle se rapproche par certains aspects des états hypnagogiques (qui précèdent l’ endormissement) ou hypnopompique (état de réveil incomplet qui fait suite au sommeil).

    • Importance de l’imagerie
    • Diminution de l’activité motrice spontanée
Mais définir l’hypnose par l’état, c’est en oublier les particularités du travail thérapeutique dans cette pratique. En effet, cette définition est jusqu’alors centrée sur l’état hypnotique plus que sur l’interaction thérapeutique. Ajoutons l’importance des techniques et façons d’évoluer au sein d’un espace symbolique et imaginaire, dans le cadre d’un travail d’accompagnement en hypnose. De manière non exhaustive, quelques éléments souvent présents :
    • La dissociation présente dans certaines formes d’hypnose. A contrario, d’autres formes procède d’une hypnose associante avec un élargissement du champ de conscience.
    • Le travail sur les parties (de soi) conflictuelles, im- / com- pulsives ou hésitantes.
    • Les lignes ou cadres spatio-temporels.
    • L’exploration des postures (ou positions perceptuelles).
    • Les niveaux d’intégrations logiques des informations reflétant l’impact de nos expériences réelles ou imaginaires, à l’instant T jusqu’au déterminisme téléonomique (Instant T modifie le système qui détermine l’instant suivant) ou causalité systémique.
    • Les outils neurologiques de l’hypnose PNL ou de la neuro-hypnose.
    • et bien évidemment l’importance de la suggestion directe ou indirecte, à effet immédiat ou post-hypnotique.

Merci pour vos retours d'expérience

Une expérience à l’efficacité unique !

Une expérience unique à l’efficacité redoutable. Une séance aura suffit à mettre fin à 20 années de colère, de peur et de culpabilité.
A l’heure où la parole se libère sur les réseaux sociaux et dans les médias, ici vous pouvez oublier la psychologie conventionnelle et ses séances à rallonge où l’on perd son temps à ressasser et essayer de comprendre le pourquoi du mal être. « Quand vous allez bien vous ne vous dites pas tiens c’est bizarre pourquoi je vais bien? ».
Ici on ne raconte pas sa vie dans l’espoir d’y trouver une réponse consciente qui débloquerai tout. Il n’y a pas de réponse, juste un encodage de l’information par notre cerveau conscient et inconscient qu’il faut « reprogrammer ». On n’oublie rien, seulement le lien émotionnel lié au souvenir est modifié de sorte qu’elle ne vient plus bouleverser tout le système et s’inviter de manière anarchique dans votre vie.
En bref ici on retrouve autonomie et confiance et non la dépendance thérapeutique.

Maxime D