Votre 1er RDV :
Faire ou Imaginer plutôt qu'Expliquer ou Interpréter
Assez des psys qui vous font parler et prennent des notes sans rien dire ?
On peut se demander avec le sourire ce qu’ils font de ces notes. Quant à vous, vous arrivez dans différents états d’esprit et de santé morale ou physique. Vous pouvez même, vous aussi, en avoir assez de raconter encore et encore. Assez d’essayer d’être compris, assez d’expliquer des choses que parfois vous-même ne comprenez pas du tout ou bien que trop au contraire.
- Vous n’y comprenez rien : » Je sais que c’est stupide d’avoir peur des jugements de ceux que je n’aime pas ! »
- Vous avez tout compris : » ça fait 3 ans et 2 psys avec lesquel(le)s je rumine tout cela. J’en ai fait le tour. »
- Vous n’arrivez plus à rien : « je suis épuisé(e)… je crois que je fais un burn-out. »
- Vous tenez le coup : « … Mais je gère ! Je travaille 45 h/semaine plus mes 3 séances de sport hebdo…sans oublier les enfants… »
Essayez le psy qui vous parle et vous fait travailler !
Depuis 2016, nous avons développé avec notre équipe pluridisciplinaire de psychologues, coachs et autres thérapeutes, une pratique thérapeutique qui peut sembler paradoxale ou contre-intuitive :
Débuter votre accompagnement sans nécessaire explicitation de votre part !
Alors rencontrer aujourd’hui un thérapeute qui n’accorde dans la phase initiale que peu d’audience aux circonstances et à l’histoire pour être intensivement concentré sur les modalités fonctionnelles de votre cerveau à l’ instant T est (presque) toujours une surprise pour la personne assise dans le canapé en face de moi.
Vous accorderez de moins en moins de crédit à ce récit autobiographique que vous ressassez, qui vous a pourtant joué maintes fois quelques tours pendables, en altérant sans vergogne souvenirs et compréhensions des situations au travers des âges.
Votre hypnothérapeute emploiera souvent un langage descriptif, parfois volontairement flou ou généraliste, loin des mots complexes et des étiquettes pathologiques.
Attention : La bienveillance peut être piquante !
En effet, le recours à l’approche provocative (cf Franck FARRELLY1) peut être utile pour bousculer des schémas limitants ou mortifère. La bienveillance commence par BIEN VEILLER. S’ensuivent des moments de surprise, même des instants de stupeurs, souvent des sourires et parfois des rires, plus rarement de l’agacement mais surtout une saine confusion, réorganisatrice des positions perceptuelles de la personne. Cela redistribue rôle, statut, et postures et provoque un processus génératif de nouveauté.Sans avoir eu beaucoup le besoin ou la nécessité d’ouvrir la bouche sauf pour valider que vous suivez le processus, vous discriminerez alors, de plus en plus, les signaux jusqu’alors discrets que vous envoient vos structures sous-corticales.
Votre perception du contexte et de vous-même commencera à changer. Et vous constaterez que vous faites cela progressivement et de façon autonome.
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De la simple indécision inconfortable au traumatisme, en passant par le stress, le burn-out ou l’angoisse, la phobie ou le deuil, et même l’addiction, notre cerveau sait très bien transformer un état interne paroxystique en un état plus apaisé, pour peu qu’on lui montre le chemin.
Vous apprendrez rapidement que
vous n’êtes ni ce que vous dites,
ni ce que vous faites,
ni ce que vous croyez
et qu’un cerveau, ça se pilote !